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Se protéger et se soigner des virus de l’hiver

Rhume, grippe, rhino-pharyngite, gastroentérite… En hiver, les virus circulent. Pour renforcer nos défenses immunitaires et éviter de tomber malade, on applique ces quelques conseils !

On se lave les mains

Nos mains sont un important vecteur de transmission des virus, on pense donc à les laver régulièrement : quand on arrive chez soi ou au bureau, quand on a emprunté les transports en commun, après être allé aux toilettes, avant de cuisiner, de manger, après avoir toussé, éternué ou s’être mouché… Et si l’on tousse ou éternue, on veille à se couvrir la bouche, de préférence pas avec la main, mais plutôt avec un mouchoir. De même, quand on se mouche, on opte pour un tissu, que l’on mettra directement au lavage, ou du papier à usage unique, que l’on jette aussitôt. On pense aussi à porter des gants dès que l’on est dehors.

On mise sur les probiotiques

70% du système immunitaire se trouvent dans notre intestin. Pour renforcer celui-ci, une cure de probiotiques est conseillée. On en trouve notamment dans les yaourts, mais aussi dans certains compléments alimentaires.

On évite le coup de mou à coups de magnésium

S’il stimule les globules blancs, le magnésium est aussi réputé pour ses qualités antifatigue. On en trouve dans de nombreux aliments comme le cacao (chocolat noir), les oléagineux, les graines de courge et de citrouille, le soja, les haricots, le riz complet, les épinards, les épices…

On se repose

Un corps fatigué est fragilisé et donc moins enclin à résister aux attaques de virus. On privilégie donc ses nuits (au moins sept à huit heures chaque jour) et on ne zappe pas la case « sport ». La pratique d’une activité physique régulière, idéalement de 30 à 60 minutes par jour, permet d’activer nos cellules et d’évacuer le stress et la fatigue. On évite toutefois de la pratiquer juste avant d’aller dormir.

On fait le plein de vitamines C et D

Les premières jouent un rôle important dans le mécanisme de défense de notre organisme. On en trouve dans les agrumes, les poivrons rouges, le brocoli… Les secondes interviennent dans la production d’anticorps. L’apport alimentaire de vitamine D est minime, l’essentiel est synthétisé par la peau, sous nos latitudes entre mars et septembre. En dehors de ces périodes, la supplémentation est indispensable. Selon les statistiques 80% de la population européenne est carencée en vitamine D.

On aère son intérieur

Parce que les bactéries prolifèrent dans des endroits confinés et ou humides, on prend le pli d’ouvrir les fenêtres de notre intérieur, en particulier celles de la chambre à coucher et de la salle de bains, pendant une bonne dizaine de minutes chaque jour. On évite aussi de surchauffer, ce qui rendrait l’air plus sec et nous rend plus vulnérables face aux virus.

Et si les virus ont réussi à passer ?

Malgré toutes ces précautions, les virus sont parvenus à passer à l’attaque. On adopte alors quelques réflexes pour se remettre sur pied au plus vite.

  • On utilise du sérum physiologique ou de l’eau salée, idéal pour décongestionner naturellement et nettoyer un nez bouché.
  • On mise sur les huiles essentielles : on demande conseil à un pharmacien ou dans une boutique bio spécialisée pour bien respecter les dosages. Différentes huiles, à utiliser soit en inhalation (dans un bol d’eau chaude ou dans un tissu que l’on va respirer), soit diluées dans une huile pour un massage. Les huiles essentielles de tea tree, ravinstara, menthe poivrée sont ainsi réputées pour contrer les coups de froids, combattre le rhume et la grippe.
  • On pense aux épices qui possèdent des propriétés bactéricides et stimulent le système immunitaire. Le curcuma, les clous de girofle, les fines herbes intégreront vos menus. De même que l’ail et l’oignon.
  • On aime les plantes : nombre d’entre elles ont des propriétés curatives. Ainsi l’échinacée renforce le système immunitaire, la propolis est antiseptique, l’argousier booste la fabrication d’anticorps… Là aussi, on demande conseil au pharmacien ou dans une boutique spécialisée.

Enfin, si le rhume ou la grippe se prolonge ou s’aggrave, on consulte son médecin.